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Mais elle trouve vite la solution qui nous convient : traînant mes fesses au bord du canapé,  son visage s’enfouit entre mes jambes. Je ne vois plus que sa chevelure qui recouvre mon pubis et je sens sa langue, ses doigts qui me chipotent ; ma poitrine est gonflée, prête à exploser, et, comme par télépathie, ses bras passent sous mes jambes et ses mains remontent jusqu’aux seins qu’elle commence à malaxer tandis que son visage entier s’enfonce entre mes cuisses. De nouveau, tout s’enflamme, je me tortille comme je peux, dans les limites de mes liens (jamais je n’aurai crû que le clou était si solide). Mes pieds sur le dos de Cristel, mon corps se balance dans le vide au gré des attaques de sa langue ; j’ouvre parfois les yeux en guettant la fenêtre, mais maintenant ce n’est plus par peur, non, au contraire, je crois que je voudrais que quelqu’un m’observe : je me sens bien, heureuse, comblée, folle peut-être…